Il s’agit en réalité d’une volonté bien antérieure à 2016.
En effet, à l’issue de mon 3e cycle à Science Po Toulouse (2000), j’avais commencé une thèse en sociologie militaire dans le but de pouvoir enseigner et faire de la recherche à l’Université.
Volontaire et très motivée, j’avais opté pour une immersion totale dans un premier temps, dans le milieu militaire puisqu’en 2000 je signais un contrat d’un an (CDD de 1 an remplaçant le service militaire) à Tarbes.
A l’issue de cette immersion qui avait conforté mon choix, toujours enthousiaste sur l’idée de devenir enseignant-chercheur, je devais cependant abandonner cette voie car en 2001 mon mari était muté à Calvi, localisation géographique trop contraignante pour entreprendre des recherches nécessaires à la poursuite de ma thèse.
En 2002 je rentrais donc véritablement dans la vie active.
Si je ne pouvais pas continuer ma thèse, la diversité de mon expérience professionnelle constituerait ma richesse en tant qu’enseignant. Je décidais donc de m’enrichir au maximum professionnellement en dépit des mutations successives de mon mari.
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